Premier
Cas: 
Gabrielle s'étant presque noyée à l'âge de 6 ans, a développé une phobie de l'eau. Ceci la gêne d'autant plus qu'elle passe tous ses étés au bord de la mer sans se baigner, sans même oser tremper ses pieds dans l'eau.
Croyance limitante: C'est dangereux d'aller dans l'eau.
Croyance positive: J'ai du plaisir à jouer dans l'eau et à nager.
Ecologie: Maintien des messages de protection utiles pour elle.
Durant le jeu, les techniques de double dissociation, d'ancrage et de restructuration d'histoire de vie sont utilisées.
Une attention particulière est portée à l'écologie tout au long du processus.
| Le soir même nous allons à la piscine, elle se met dans l'eau et commence à nager. Ce n'est qu'une fois au milieu de la piscine qu'elle s'exclame " Mon Dieu, je suis dans l'eau ! C'est formidable". |  |
Deuxième cas:
Charles, homme d'affaires, doit beaucoup voyager. Il développe une aérophobie à la suite d'un film sur un avion en détresse et, le seul fait de s'imaginer en train de voler lui donne la chair de poule et, il " voit " l'avion s'écraser. Jusqu'à présent il a pu limiter ses moyens de transports au train et à la voiture. Il doit cependant partir en formation aux USA et ne peut s'offrir le luxe d'une croisière.
Croyance limitante: Si je prends l'avion, il s'écrasera et je serai tué.
| Croyance positive: L'avion est un moyen de transport sophistiqué et je le prends avec confiance. |  |
Ecologie: Pas de problème particulier.
Techniques de PNL utilisées, neutralisation d'ancre, double dissociation, changement de stratégie et swish.
Trois semaines plus tard, nous recevons une carte postale de New York où Charles s'est rendu. Il a éprouvé, nous dit-il, une légère appréhension à l'aéroport qu'il a pu annuler grâce à un ancrage positif et qu'ensuite le voyage s'est bien déroulé. Il a même pu dormir. Maintenant il n'arrive plus à savoir ce qui l'effrayait tant.
